3RD FROM THE SUN

Prônant le Sci-Fi Metal, un genre multiple puisant à la fois dans la littérature et le cinéma fantastique et de science-fiction (avec John Carpenter en tête) ainsi que dans divers genres musicaux (de Voïvod à Prong, en passant par Coroner ou Discharge), 3rd From The Sun concentre ces influences dans une volonté de proposer une musique brute, mais aussi parfois atmosphérique, surfondée d’invasion extraterrestre et d’angoisse.
 
Depuis 2015, le groupe écume les salles de concert et affine sa proposition d’un métal tantôt brutal, tantôt étrange et oppressant, avec comme credo « Peur. Urgence. Paranoïa ». Leur premier album éponyme, sorti en 2019 via M&O Music, en est l’incarnation.
 
Actuellement, le groupe est en pleine production de son deuxième album intitulé « Dread. Unknown. Isolation. » (enregistrement prévu en 2024), qui explorera encore plus les thèmes abordés et affirmera l’identité du groupe avec l’introduction de leur second guitariste depuis 2022.
 

DISCONNECTED

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DISCONNECTED est un groupe de métal moderne aux influences multiples telles que Gojira, Avenged Sevenfold ou encore Alter Bridge.

Après avoir joué de nombreux concerts en France, avoir ouvert pour Tremonti lors de leur tournée européenne de 2018 où ils enchaînent 24 concerts dans 17 pays, élargissant leur fans base européenne notamment au Royaume-Uni, en Allemagne et en France. Le groupe est invité en première partie de Judas Priest en janvier 2019 (Zénith de Paris). Disconnected a également soutenu Mass Hysteria en mars et novembre 2019.

En 2020, la pandémie stoppe net l’ascension fulgurante du groupe et presque tous les événements sont reportés à 2022.

Avant de sortir leur second album, le groupe décide de sortir un premier single : «UNSTOPPABLE » en avril 2020, l’accueil est immense et aujourd’hui le single atteint plus de 1,5M de streams cumulés…

DOPE D.O.D

Il n’y a pas d’underplay dans le nom du groupe de rap, Dope D.O.D. (Duo of Darkness). Leur musique est sinistre et parfois difficile à digérer. Ils canalisent les sous-entendus misogyne sombres présents dans le rap gangster américain et les frasques macabres et humoristiques qui rappellent des artistes comme Eminem.

 
Malgré leurs nombreuses influences américaines évidentes, ils intègrent des éléments issus de leur pays d’origine. Ils utilisent les riffs sombres qui ont historiquement personnifié la culture musicale néerlandaise, incorporant les tendances cinématiques des sons sombres ambiants, tout en prenant apparemment des indices dans l’intensité du Black et du Death Metal. L’élément le plus reconnaissable du groupe est sa structure électronique expérimentale. Après tout, les DJs de musique électronique les plus renommés proviennent des Pays-Bas, donc il n’est pas surprenant d’entendre ce son filtré dans leur musique.
 
Le groupe est indiscipliné sur scène et le public l’est tout autant. Des mosh pits se forment sur la piste, tout comme des danses hardcore. Le groupe se déchaîne dans un chaos frénétique et incite le public à dépasser le seuil du plaisir raisonnable. Les rappeurs du groupe sont des personnages intéressants à observer sur scène. Ils arborent des afros et des mohawks et se retrouvent parfois en train de boire des boissons fortes pendant leurs spectacles. En résumé, ne ramenez pas vos parents à ce concert, ni de jeunes enfants, à moins que vous ne souhaitiez les voir irrémédiablement corrompus.
 
Le groupe se plaît dans l’absurde (l’un de leurs morceaux s’intitule « Ridiculous »), mais ils ont eu un impact sérieux dans la communauté du rap néerlandais et encore plus dans la scène hip-hop mondiale. En 2011, ils ont fait une forte impression en ligne avec leur clip à succès « What Happened », qui a atteint jusqu’à 13,7 millions de vues sur YouTube (actuellement plus de 40 millions). À partir de là, la carrière du groupe a décollé. Ils ont pénétré les charts de la pop française, ont joué dans de grands festivals à travers l’Europe et ont été un acte vedette au SXSW, tout en tournant dans le monde entier avec Korn, ICP et Limp Bizkit. Le groupe a su maintenir son niveau de sensationnalisme et c’est le bon moment pour les voir en live.
 
En 2024, alors que Dope D.O.D. se prépare pour une sortie très attendue et se prépare à partir en tournée électrisante, les fans de hip-hop hardcore s’apprêtent à être ravis. Avec leur engagement à maintenir une présence scénique sensationnelle, le public est garanti de faire l’expérience de l’énergie brute et des performances captivantes qui rappellent l’âge d’or du hip-hop.

FERNAND BREL ROCK EXPERIENCE

Ferdinand Brel Rock Experience est un projet artistique audacieux qui réinvente les œuvres de Jacques Brel à travers une musique rock percutante. Le groupe propose une vision musicale totalement repensée, en adéquation avec les textes emblématiques de Brel. 

 
« Cet homme est Rock’n’roll », confie le groupe, qui imagine une sonorité résolument rock en arrière-plan des paroles, convaincu que ces dernières, loin de perdre leur sens, gagnent en profondeur et en intensité dans un autre registre. « La musique n’a pas de barrières, elle n’a pas de frontières ; elle est tout simplement libre. Nous avons revisité Brel à notre manière, avec notre propre univers. »
 
Naviguant entre le son rock des années 70 et les influences contemporaines, le groupe flirte également avec des sonorités électroniques. Les projections visuelles lors du spectacle ajoutent une dimension magique et transportent le public dans un univers singulier.
 
FERNAND VOUS INVITE À UN SPECTACLE QUI ALLIE ROCK ET POESIE AUTOUR DU GRAND JACQUES. 
 
L’objectif de ce groupe est de faire découvrir l’univers de Brel à travers leur propre interprétation, mêlant des textes ciselés à un habillage musical électrique. Les joyaux du rock éclatent sur scène ! Ce condensé d’énergie se déploie pleinement, et Fernand sait aussi divertir et faire bouger son public : « J’veux qu’on rit, j’veux qu’on danse, j’veux qu’on s’amuse comme des fous… »
 
Ne laissez pas passer cette occasion et laissez-vous séduire par l’univers en noir et blanc que vous propose Fernand, en hommage au grand Jacques…
 

FLAGRANTS DÉLIRES

 
 

Toute histoire commence par une rencontre…
Celle de Flagrants Délires s’est faite il y a quelques années déjà dans notre Sud-Ouest si chaleureux autour de 5 musiciens et d’une envie commune : Partager leur vision délurée de la musique.

C’est par leurs compos, dignes reflets de leur perception de la vie, leurs textes influencés par les piliers de la chanson française (Renaud, Aznavour, Brassens..) et leur musique

LES INGREDIENTS : Des textes en français, un accent chantant, du rock, de l’énergie et le soleil du midi !

FLAGRANTS DELIRES, est dans la mouvance des groupes de rock Français, avec un show « 100% LIVE », s’accompagnant d’une dizaine d’instruments pendant près de 2h créant alors une alchimie totale avec le public.

L’énergie et la bonne humeur sont les maîtres mots de cette formation qui n’a de cesse de se produire dans tous les coins de l’hexagone.

LABOLEK

Labolek produit un rock français brut, sans fard, énergique et efficace. Originaire des Hauts-de-France, le groupe est constitué de 4 musiciens ayant tous un sérieux bagage et une solide expérience de scène et des studios. Les textes de Jo à la voix de ténor rockailleux sont propulsés par le son lourd, granuleux et tragique du combo.  

Le groupe revendique un rock en français abordant des thèmes sociétaux sans détour. Chaque titre est une histoire de cassure, de fêlure, une clameur sortie des stries d’un auteur écorché. Nick Cave, Tom Waits ou Bashung sont dans l’ombre. Au-delà des classiques du genre, le groupe puise son inspiration dans le hard blues, usant du slide et des harmoniques ouvertes pour permettre un jeu pulsionnel, nerveux, intuitif.  

« Les Marquises » rend hommage à Brel, « Parloir » aborde le thème délicat de la vengeance, et « Chanter » décrit avec ironie la fabrique des stars. Labolek se doit d’être découvert sur scène en se laissant emporter dans les récits viscéraux de Jo et de ses personnages cabossés comme sa voix. Labolek vous promet une veille puissante et rock dans une joie terriblement communicative. 

NOISE EMISSION CONTROL

Originaires du Nord de la France, Les Noise Emission Control proposent dès 2006 une musique énergique alliant Rock, Punk et Hard-Rock donnant à leur « High Energy Rock » un côté sauvage, du dynamisme à l’état pur.

Parmi de nombreux concerts, ils participent à différents festivals (les Metallurgicales, Bétizfest, Du Metal à la campagne, Raismesfest, JP Fest…) et partagent la scène notamment au côté de groupes tels que Black Bomb A, Tagada Jones, L’Esprit du Clan, Loudblast, Anthrax,

Glowsun, Bukowski, Aqme, Pro-Pain, Zoé, Napalm Death ou encore Lofofora.

Fort de ces expériences scéniques, le groupe décide d’enregistrer son premier album,

autoproduction enregistré et mixé par OLIVE T’SERVRANCX (Carving, Black Bomb A, Glowsun, Darkness dynamite, Lumberjack Feedback). Grâce à la coopération et l’investissement de divers talents régionaux, le projet se réalise et le cd sort en juin 2012.

2017, les Noise Emission Control nous pondent 5 nouveaux titres enregistrés sous la houlette

de PHIL REINHALTER au PSYKRON Studio (Mercyless, Putrid Offal (Kaotoxin)) et masterisé par FRED MOTTE (Loudblast, Putrid Offal, ETHS). Suivra le clip « Désordre & Mépris # extrait de ce même E.P.

Aujourd’hui le groupe travaille sur l’écriture de son prochain album et propose un avant-gout de celui-ci avec le clip « Poussière » sorti en décembre 2021.

ODDISM

Oddism, c’est une musique puissante et imprévisible, un aller simple vers les méandres de l’étrange, la promesse d’une expérience dense, affranchie de tous codes.
Les notes s’entremêlent dans un torrent
de riffs, surplombées d’un chant hurlé qui ne laisse rien au hasard. L’asymétrie
caractéristique de la musique d’Oddism transporte dans un univers où la révolte est inévitable et où les chaînes se brisent.
Automne 2023, Oddism revient avec son
deuxième album, « With the White Tiger ».
Plus abouti et plus mature, li nous mène
vers une nouvelle expérience d’écoute, dont on ne peut ressortir indemne.
Oddism est prêt à reprendre la route pour défendre ce dernier opus, qui, chose sûr, ne vous laissera pas indifférent.

PARADIDISIO

Patrick Samoy a débuté sa carrière dans la production musicale en 1988, à seulement 18 ans. Il a connu une carrière exceptionnelle dans les années 90 et est reconnu pour ses remixes, ses productions, ses compositions, ainsi que pour ses projets avec des artistes et des studios.
 
Patrick est un ancien membre des Unity Mixers, célèbres remixeurs DJ belges des années 1990.
 
Il est surtout connu pour son travail avec le groupe Eurodance Paradisio, qu’il a fondé en 1994. En tant que compositeur et co-auteur, il a collaboré avec Maria Isabella Garcia, Sandra de Gregorio, Marie-Belle Perez et Shelby Diaz pour tous les titres originaux de Paradisio.
 
En 1996, le morceau ‘Bailando’ de Paradisio est devenu l’hymne de l’été en Belgique et a ensuite connu un succès international, avec 5 millions d’exemplaires vendus dans le monde.
 
Parmi les autres succès de PARADISIO, on trouve ‘Vamos a la Discoteca’, ‘Bandolero’, ‘Luz de la Luna’, ‘La Samba del Diablo’ et ‘El Ritmo Caliente’. En août 2016, un album de leurs plus grands succès (20e anniversaire) a été publié et est disponible sur toutes les plateformes.

PETER HARPER

 
 
26 nouvelles chansons pour le plus jeune des membres de cette prestigieuse famille d’artistes : Peter Harper ! Pendant un an et demi, il s’est engagé à écrire et enregistrer une nouvelle chanson toutes les deux semaines pour ses fans. Et le voilà de retour avec un album intitulé “We’re Comin’”, un disque qui appelle à la prise de conscience de son public. Depuis la sortie de son premier album en 2013, Peter Harper s’est engagé sur des questions environnementales. Actif au sein de la Surfrider Foundation, il aborde des thèmes écologiques et politiques au cœur de ses chansons.
 
Bien sûr, si vous avez eu la chance de voir Peter Harper en concert, il est probable que vous ayez reçu un baiser sur la joue ou un câlin chaleureux de sa part. Il aime aussi faire danser son public avec une voix qui évoque la soul des années 50 et 60, laissant une douce sensation de tendresse qui persiste plusieurs jours après le concert.
 
Peter Harper est de retour sur scène, et ses concerts ne laissent pas seulement le public ravi ; ils rappellent également qu’il existe encore de belles choses dans le monde qui méritent d’être défendues. Ce qui distingue Peter Harper des autres artistes, c’est sa capacité à créer de manière prolifique. En tant que musicien multi-instrumentiste et artiste polyvalent, il se consacre également à la sculpture, à la peinture, au dessin et à la sérigraphie. Son œuvre musicale et artistique se manifeste sous une multitude de formes, laissant les gens se demander s’il prend le temps de dormir.
 
Et ce n’est pas tout ! Avec son charme et son amour inconditionnel pour son public, Peter fait preuve d’un dévouement sans précédent. Chaque spectateur vous confirmera qu’il adore les câlins, les baisers et les conversations approfondies !
 
Il inspire son groupe et son équipe à donner le meilleur d’eux-mêmes, et lorsque l’on pense qu’il a tout donné, il parvient toujours à offrir encore plus. À La Luna Negra à Bayonne, à la fin de son set, alors que le public se lève pour une ovation, beaucoup pensaient que le spectacle était terminé lorsqu’il est descendu de scène pour embrasser les premiers rangs. Les personnes à l’arrière étaient jalouses jusqu’à ce qu’elles réalisent qu’il n’avait pas fini. À la fin de la soirée, il avait embrassé chaque personne, du premier au dernier rang, tandis que le public applaudissait et chantait en chœur avec lui. Cela a lancé une tendance qui, je vous le garantis, n’avait jamais été vue auparavant.
 
« Je ne me limite pas à offrir un show pour que les gens obtiennent ce pour quoi ils ont payé ; j’ai besoin de remercier chaque membre de l’audience personnellement. Les musiciens sont souvent placés sur un piédestal ; il est essentiel de briser cette barrière et de rester humain. » – Peter Harper
 
« En 1958, ma grand-mère, Dorothy Chase, et son mari, Charles Chase, avaient deux options : devenir cordonnier ou ouvrir un magasin de musique… Dorothy pouvait jouer de tout ce qui avait des cordes, et Charles pouvait réparer tout ce qui faisait de la musique, ainsi que la plupart des choses qui n’en faisaient pas… Je pense donc que j’aurais pu devenir un excellent artisan du cuir ou fabricant de chaussures. Mais le Folk Music Center a vu le jour, et me voilà. 
 
Ma mère, Ellen, avec sa voix angélique, a mis sa carrière musicale de côté pour élever ses trois enfants, mais elle est revenue à la musique une fois que nous avons grandi. Elle a maintenant deux albums à son actif et vient de publier un livre, avec un deuxième en route. Mon père, Leonard Harper, était un percussionniste exceptionnel, si charismatique que l’on ne pouvait entrer dans une pièce avec lui sans en tomber amoureux. Malheureusement, il a longtemps lutté contre une addiction à l’alcool et est décédé à 55 ans. 
 
En tant qu’aîné de leurs trois enfants, mon frère Ben s’est toujours efforcé de faire de son mieux, une qualité qui lui a valu plusieurs Grammy Awards et une carrière reconnue à l’international. Mon autre frère, Joel, est auteur de livres pour enfants et multi-instrumentiste. Son premier livre, *All The Way To The Ocean*, a été rejeté par toutes les maisons d’édition aux États-Unis. Il a donc décidé de l’auto-publier, et à ce jour, il s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires. Oui, vous avez bien lu, son livre pour enfants s’est vendu à ce chiffre ! Il continue à publier et a déjà plusieurs autres ouvrages à son actif.
 
Et puis il y a moi… Que puis-je dire ? Je suis musicien, sculpteur, peintre, enseignant, mari et père. Je dessine, je fais de la sérigraphie, je parle un peu français et un peu espagnol. J’ai appris le shona (une langue bantoue du Zimbabwe) et la langue des signes américaine, mais j’ai un peu oublié faute de pratique. J’ai traversé les États-Unis plusieurs fois en voiture, parcouru plus de onze mille kilomètres à travers le Mexique, ainsi que la plus grande partie du Canada. J’ai vécu au Zimbabwe et visité le Mozambique, la Zambie et le Botswana. J’ai également visité la France, la Suisse, la Belgique, l’Espagne et l’Angleterre, et j’espère un jour atteindre les confins du monde. 
 
Mon fils Saul Harper, âgé de 18 ans, a écrit son premier album. Il est meilleur que je ne le serai jamais, et j’espère bientôt l’emmener en tournée avec moi pour vous le faire découvrir. »

PUTRID OFFAL

 
 
Putrid Offal – Une Nécrographie
 
Émergeant des entrailles crépitantes de la scène Death/Grind foisonnante du début des années 90, PUTRID OFFAL est devenu un groupe culte avec la sortie de leur premier album de splatter en 1991, publié par Wimp Records (LP) et Adipocere Records (CD). Cependant, le groupe a lentement disparu dans le formaldéhyde au milieu de la décennie…
 
Mais ce qui est mort peut aussi revivre. Vingt-cinq ans après sa création, PUTRID OFFAL renaît avec une nouvelle vision de son art, à travers la sortie de leur véritable premier album, « Mature Necropsy », en 2015. Ce renouveau est rapidement suivi de nombreuses tournées en Europe et de participations à des festivals, dont leur concert en 2017 au célèbre HELLFEST, capturé en live pour un DVD inclus en tant que bonus de leur deuxième album, « Sicknesses Obsessions », sorti en 2020, auquel a également suivi une campagne de massacre à travers les terres souillées de toute l’Europe.
 
Maintenant que leur label historique KAOTOXIN/XENOKORP est laissé pour mort, PUTRID OFFAL revient plus mortel que jamais, affamé de concerts et prêt à déchirer le public comme un zombie avide de chair. Ils présentent leur album le plus brutal, direct et abouti à ce jour, intitulé « Obliterated Life ».

RHEA

Quand tout s’effondre et qu’il ne reste que des cendres, deux choix s’offrent à vous : abandonner ou se relever, en réalisant que ces cendres peuvent en fait former un terreau fertile. C’est exactement ce qu’a vécu RHEA au cours des deux dernières années. Aujourd’hui, le groupe revient, se libérant de l’étiquette de simple groupe de power rock avec de nouvelles sonorités (leur deuxième album est prévu pour 2024 !) et un son plus groovy que jamais.
 
Il faut avoir les pieds bien ancrés au sol lorsque votre groupe est présenté comme le nouvel espoir du rock authentique, ce qui fut le cas de RHEA en 2016. Avec seulement une chanson à leur actif, ils ont dû rapidement trouver leur place sur la scène musicale belge. Et ils y sont parvenus, pendant quatre ans : écrivant des morceaux, sortant plusieurs singles, offrant des performances mémorables (en première partie de Royal Blood ou en tête d’affiche), et enregistrant leur premier album. Mais juste au moment où RHEA semblait s’installer confortablement et anticipait un avenir prometteur, la pandémie de Covid a frappé. Un jour après l’enregistrement final de *Lust For Blood Pt.2*, la Belgique est entrée en confinement. Ce fut un coup dur pour le groupe et pour le chanteur Jorge Van de Sande, qui traversaient déjà une période tumultueuse. Les rêves et le sens de la direction se sont évaporés, laissant place aux doutes et à un sentiment de déroute.
 
Pourtant, ils se sont relevés. Lorsque leur morceau *Rather Be Nothing* a dominé les charts alternatifs belges, cela a agi comme un catalyseur, renforcé par leur prestation sur la scène principale du Rock Werchter 2022. Cet élan a réuni le groupe et leur a permis de se projeter vers de nouveaux horizons musicaux. Van de Sande a recommencé à écrire, s’inspirant de la période difficile qu’ils avaient traversée, mais principalement axé sur la résilience nécessaire pour se relever. Cela les a également amenés à explorer des questions existentielles avec une audace inédite : ne pas se contenter de peu, faire preuve d’ambition, et remettre en question des puissances supérieures, tant politiques que religieuses. RHEA remet finalement l’humanité au cœur de toute cette exploration.
 
Sur le plan musical, le groupe emprunte des chemins audacieux et inexplorés, développant un son qui leur est propre. Ce processus s’est fait de manière organique, commençant par le premier riff que Van de Sande a mis sur papier. Il a cependant d’abord ressenti des doutes. Cela fonctionnera-t-il pour nous ? Ne devrais-je pas tout abandonner ? Mais plus le groupe approfondissait cette nouvelle direction, plus il réalisait que c’était exactement ce qu’ils voulaient faire, en ouvrant de nouveaux horizons musicaux. Bien que toujours ancré dans le rock, leur son embrasse de nouvelles influences : des touches de funk dans l’une des chansons, des éléments de disco dans une autre, et même une ballade. Avec des ajouts d’instruments tels que le violon, le piano, le Hammond ou le mellotron, des lignes de basse entraînantes et des pédales wah-wah, RHEA se montre plus groovy que jamais. Leur premier single, *Creeping Through My Head*, peut être décrit comme une fusion entre RHEA et Lenny Kravitz.
 
Les six premières années après leur percée ont été un véritable roller coaster pour RHEA, culminant en un moment de crise qui les a laissés sans repères. Mais aujourd’hui, ils sont de retour sur le devant de la scène, plus déterminés que jamais. Le deuxième album promet d’apporter, à bien des égards, la rédemption, cultivé sur le terreau fertile formé par les cendres qui ont marqué le début de leur histoire.

SEEDS OF MARY

 
 

SEEDS OF MARY c’est plus de 350 concerts à travers la France, une fanbase qui ne cesse de croître, des shows survitaminés aux côté de Nashville Pussy, Phil Campbell, Klone, Bukowski, Dagoba ou Les Wampas, et un dernier album unanimement salué par la presse ! Les Seeds, c’est de la bonne graine qui monte et qui veut envahir le territoire à coups de riffs assassins et d’envolées mélodiques !  

Seeds Of Mary plantent et récoltent sans se laisser déborder par les phénomènes extérieurs. Difficile à mettre en case, leur musique se fait parfois violente, parfois aérienne, toujours à la recherche d’un son qui assimilerait leurs nombreuses influences. Textes introspectifs et expression affirmée des émotions, ces mauvaises graines poussent vite et fort.

Son 6e album est sorti en octobre 2024.

TARLD (THE AMSTERDAM RED LIGHT DISTRCT)

Originaires de Lyon, France, TARLD (acronyme pour ‘The Amsterdam Red Light District’) est un groupe de metalcore/hardcore débordant d’énergie. Influencés par des formations telles que Refused, FEVER 333 et Stray From The Path, TARLD a partagé la scène avec des noms prestigieux de la scène Metal et Punk Rock à travers toute l’Europe.

Depuis la sortie de leur troisième album ‘Sapere Aude’ en 2018 et de leur quatrième album ‘Trapped’ en 2022, TARLD s’est également produit dans de grands festivals européens comme Hellfest en France et Groezrock en Belgique, tout en bâtissant une solide réputation au Japon et en Angleterre grâce à plusieurs tournées.

Avec de nouveaux singles tels que ‘Black Smoke’ et ‘Social Sickness’, annonçant un album prévu pour 2025, le groupe souhaite clairement montrer la puissance et l’intensité de cette nouvelle ère pour TARLD.

THE LUMBERJACK FEEDBACK

The Lumberjack Feedback est un groupe français de post-metal instrumental. Fondé en 2008, le groupe est totalement instrumental et a la particularité d’avoir deux batteurs.  

Leur musique se caractérise par des riffs lourds et puissants ainsi que des atmosphères sombres et hypnotiques, le tout martelé par deux batteurs aux rythmiques indomptables, créant un univers sonore vraiment unique.  

Au fil des années, The Lumberjack Feedback a peaufiné son identité musicale en mêlant diverses influences allant du sludge au doom et au post-rock.  

Le résultat est une fusion complexe et envoûtante capable de transporter l’auditeur vers des paysages sonores très émotionnels.  

Leur premier album, « Hand of Glory », sorti en 2013, a immédiatement captivé les amateurs de musique lourde avec son mariage audacieux de rythmes percutants et d’atmosphères envoûtantes.  

Par la suite, le groupe a continué à affiner son style avec des albums tels que « Blackened Visions », sur lequel on retrouve également Alex Colin-Toquaine, guitariste du légendaire groupe Agressor, en 2016, et « Mere Mortals » en 2019, véritable ouragan de puissance, élargissant ainsi leur empreinte artistique.  

À travers leur musique, The Lumberjack Feedback transcende les frontières linguistiques et culturelles, résonnant auprès d’un public du monde entier. Le groupe continue de marquer le paysage musical en offrant des performances live énergétiques et captivantes à couper le souffle.

TROBAR DE MORTE

Les maîtres du folk païen sombre, Trobar de Morte, sont prêts à choquer les adeptes de la sorcellerie, de la mythologie sombre et des traditions ancestrales européennes. Ayant sorti dix albums jusqu’à présent et après des années de performances à travers l’Europe, ces talentueux musiciens espagnols, dirigés par la polyvalente Lady Morte, préparent leur magie pour célébrer leur 25e anniversaire à travers des mélodies enchanteresses et une sorcellerie mystique.

Le spectacle live du groupe inclut des performances, des danses et des éléments rituels qui enrichissent l’expérience du public. Une danseuse tribale les accompagne lors de leurs concerts en direct, ajoutant un fort impact visuel à de nombreuses chansons.

X RATED FDH

Formé en 2015, X-Rated FDH s’est imposé comme un solide groupe rock du Nord de la France. Un rock aux influences hard et heavy, passionné, sincère, intègre et exigeant, avec, pour certains titres, de belles tonalités acoustiques. Le trio revendique des influences larges, de Black Sabbath à Ghost, en passant par Metallica, Rival Sons ou Nirvana. X-Rated FDH a déjà trois albums (Alive Not Dead, Burn Off et House of Paradise) et une centaine de concerts à son actif.

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